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La recherche et les services publics dans la physique et la chimie de l’atmosphère de la Terre et des autres planètes, ainsi que de l’espace extra atmosphérique.

Bonne nouvelle! Vous n'êtes pas obligé de rester tranquille cet été ! L'Observatoire public Armand Pien de l'Université de Gand ouvre à nouveau ses portes au public aujourd'hui, et vous propose un programme scientifique à propos de la planète Mars :

Le vol Vega VV16 est reporté au mois d'août, en raison de la persistance de vents défavorables en haute altitude au-dessus de Kourou (Guyane française, Amérique du Sud). A bord du lanceur Vega, 53 satellites, dont deux CubeSats belges, PICASSO et SIMBA, attendent d'être mis en orbite.

L'instrument NOMAD, développé à l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique et actuellement en orbite autour de Mars à bord du satellite ExoMars Trace Gas Orbiter de l'ESA, a détecté une lueur verte d'oxygène unique dans l'atmosphère entourant la planète rouge (à environ 80 km d'altitude). Cette émission donne sa couleur caractéristique à l'aurore boréale terrestre et à la lueur de l'air, mais n'avait jamais été observée auparavant dans d'autres atmosphères planétaires en dehors de la Terre.

L'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique travaille sur une future mission de l'ESA vers Vénus, appelée EnVision. Le lancement d'EnVision est actuellement prévu pour 2032, et l’objectif de la mission sera d’étudier l'activité et les caractéristiques géologiques de Vénus, ainsi que leur influence sur l'atmosphère de la planète. Cela pourrait nous aider à comprendre pourquoi Vénus et la Terre ont évolué de façon si différente.

Des scientifiques de l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique (IASB), en collaboration avec l'Institut météorologique royal des Pays-Bas (KNMI) et l'Agence spatiale européenne (ESA), ont déterminé dans quelle mesure la crise du COVID-19 a un impact sur la qualité de l'air. Les résultats ont été publiés le 8 mai dans la revue Geophysical Research Letters.

Ce printemps, l'Arctique a été marqué par ce qui pourrait être le plus grand trou dans la couche d'ozone jamais enregistré au-dessus du pôle Nord. Le trou dans la couche d'ozone est un phénomène saisonnier observé chaque année au-dessus des régions du pôle Sud (Antarctique). Le trou d'ozone au-dessus de l'Arctique est un événement beaucoup plus rare. Depuis le début des mesures satellitaires en 1978, un seul trou d'ozone a été observé au-dessus du pôle Nord auparavant, en 2011. Des conditions météorologiques inhabituelles sont à l'origine de ce phénomène exceptionnel.