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Services atmosphériques

L'IASB génère des services et des produits scientifiques de haute qualité qui répondent aux besoins de la communauté des utilisateurs, dans tous ses domaines de recherche dans l'atmosphère. Des services tels que:

  • Les avertissements d'émissions volcaniques
  • L'analyse globale et les prévisions de la qualité de l'air
  • Les prévisions de l'ozone stratosphérique
  • L'indice UV solaire
  • Les prévisions de la dose de rayonnement accumulée

L'IASB participe activement aux évaluations scientifiques du WMO/UNEP sur l'appauvrissement de la couche d'ozone. Il est aussi fortement impliqué dans les rapports d'évaluation du GIEC.

Trou ozone Pole Nord 2011
Nous sommes heureux de pouvoir vous présenter un nouveau film d'introduction, dans lequel l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique est présenté sous toutes ses facettes. Découvrez les nombreux domaines de recherche et les défis sociétaux dans lesquels l'Institut est actif
16 septembre, la Journée internationale pour la préservation de la couche d'ozone. Destruction de cette couche au-dessus de l'Antarctique à chaque printemps.
Dr Ir Ann Carine Vandaele est nouvelle directrice générale de l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique.
Le 31 janvier, le roi Philippe de Belgique a visité le Pôle Espace et l'Institut d'Aéronomie Spatiale. Les scientifiques de l'IASB lui ont présenté un aperçu de nos recherches sur le climat, la qualité de l'air et la couche d'ozone.
Le Pôle Espace d'Uccle ouvrira ses portes les 24 et 25 septembre 2022.
Les cendres volcaniques et le dioxyde de soufre émis par des éruptions comme celle qui se produit actuellement à Cumbre Vieja sur La Palma, constituent une menace pour la santé humaine et l'aviation. C'est pourquoi le système d'alerte SACS surveille ces émissions à l'aide de données satellitaires et envoie des avertissements en conséquence aux parties prenantes.
Les scientifiques de l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique (IASB) sont étroitement impliqués dans l'analyse des données et des techniques qui les sous-tendent, ainsi que dans la validation et le contrôle de la qualité des mesures. Enthousiasmés par les résultats, ils veulent profiter de l'occasion des « Trois ans de TROPOMI » pour fournir plus d'informations sur cette mission satellitaire et partager les résultats les plus intéressants.
Une étude de synthèse d'ICOS décrivant l'empreinte de la sécheresse de l'été 2018 en Europe au moyen de mesures du CO2.
L'instrument satellitaire TROPOMI a détecté une diminution de la pollution par le dioxyde d'azote dans le monde entier pendant le confinement. Dans certaines régions de Chine, la pollution par le dioxyde d'azote semble avoir augmenté à nouveau, montrant même une légère augmentation par rapport aux années précédentes.
Le plus grand trou dans la couche d'ozone jamais enregistré au-dessus du pôle Nord. De conditions météorologiques inhabituelles sont à l'origine.
Nous aimerions penser que la qualité de l'air s'est considérablement améliorée depuis que les mesures de confinement du Coronavirus ont commencé, mais, comme toujours, la réalité est complexe. Voici quelques faits scientifiques concernant la pollution et la qualité de l'air. On s'attend principalement à ce que le dioxyde d'azote diminue un peu en raison de la baisse du trafic automobile.
Le 'lockdown' de plusieurs villes de la province chinoise du Hubei a un impact sur la qualité de l'air.
Les instruments spatiaux et terrestres peuvent détecter ces incendies depuis l'espace, dans le cadre du programme d'observation de la Terre Copernicus coordonné par la Commission européenne.